Les coulisses
Les Cartographes de Peng Shepherd sur le blog Aperto Libro
… une critique ★★★★★.
Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert
Coup de cœur de la librairie Millepages, à Vincennes (94).
Neal Stephenson : futuriste en chef
Aujourd’hui sur France Culture, dans l’émission La science CQFD : retour sur le parcours et la carrière de l’auteur américain de science-fiction, Neal Stephenson.
« Même si on peut ne pas être d’accord avec certains points soulevés par l’auteur, force est de constater que ce guide est l’aboutissement d’un travail de longue haleine, sérieux, exhaustif, et qui a pleinement sa place dans la bibliothèque de n’importe quel amateur de littératures de l’imaginaire. »
Le Guide des genres et sous-genres de l’imaginaire d’Apophis chroniqué sur le site elbakin.net.
Pour Sometimes a book…
Rivages de Gauthier Guillemin est une très bonne lecture.
« Cette trilogie appartient au genre de la fantasy, mais son système de magie est particulièrement novateur et fait penser au transhumanisme. »
Les Terres closes de Robert Jackson Bennett au Pays des Cave trolls, une critique de CélineDanaë.
« Ce roman se déroule 250 ans avant un diptyque (Le magicien quantique et Le jardin quantique) : à la question « peut-on le lire sans connaître les autres romans ? », je vous réponds « oui ! », puisque moi non plus je n’ai pas (encore) lu les autres romans, et cela ne m’a pas empêchée de beaucoup l’apprécier. »
Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans les Chroniques de Feygirl.
« Ce troisième volume éclaire, de façon magistrale, toute l’ambition de ce projet qui transpose, dans un univers de fantasy, des problématiques qui sont habituellement celles de la SF. »
Les Terres closes de Robert Jackson Bennett sur le blog Actu du noir, une critique de Jean-Marc Laherrère.
« …cet ouvrage mérite une place de choix sur nos étagères, même déjà bien encombrées, justement. »
Le Guide des genres et sous-genres d’Apophis sur le blog Charybde 27, une critique d’Hugues Robert.
« Avec Les terres closes se termine donc le cycle des Enlumineurs de façon définitive et non sans panache ou émotion.[…]Lisez ce cycle ! »
Les Terres closes de Robert Jackson Bennett sur le site culturel Boojum, une critique de Sylvain Bonnet.
« Première partie d’un diptyque, Les profondeurs de Vénus, au-delà du volet spatial et colonisation du système solaire, est aussi le portrait d’une famille forte, avec des individualités attachantes. »
Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans L’Indépendant, une critique de Michel Litout.
Les Terres closes de Robert Jackson Bennett
… critiqué sur le site Elbakin.net.