« Première partie d’un diptyque, Les profondeurs de Vénus, au-delà du volet spatial et colonisation du système solaire, est aussi le portrait d’une famille forte, avec des individualités attachantes. » // Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans L’Indépendant, une critique de Michel Litout. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « En fin 2020, Gilles Dumay m’a proposé un exemplaire d’Émissaires des morts à chroniquer, j’ai lu vite fait le résumé avec « Space Opera », « Corps d...« J’ai personnellement été très charmée par ce roman, dont l’ambiance m’a transportée. »Semiosis de Sue Burke et Le Chant mortel du soleil de Franck Ferric Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ