« Première partie d’un diptyque, Les profondeurs de Vénus, au-delà du volet spatial et colonisation du système solaire, est aussi le portrait d’une famille forte, avec des individualités attachantes. » // Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans L’Indépendant, une critique de Michel Litout. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet Pour Tachan, Les Terres closes de Robert Jackson Bennett...« … j’espère que ce genre de romans amènera l’impulsion à protéger la Nature, à la voir comme une amie, et non une entité à dominer, contrôler. »« Et encore maintenant, je me promène avec délice, en pensée, dans les recoins inconnus de ses cartes. » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ