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Les chiffres de ventes numériques, pour septembre, ayant été consolidés, on a idée précise de ce qui a été acheté ce mois-là. En terme de CA global, septembre 2020 est un petit mois (presque la moitié du CA du meilleur mois de l’année, août 2020), les acheteurs ne se sont pas rués sur les deux nouveautés Quitter les monts d’automne d’Emilie Querbalec et La Marche du levant de Léafar Izen. C’est un mois où il n’y avait pas de promo numérique, comparé à août.
Les meilleures ventes numériques de septembre sont dans l’ordre : Le Livre de M de Peng Shepherd qui, sauf surprise de dernière minute, sera la meilleure vente de l’année en édition papier, Un océan de rouille de C. Robert Cargill qui, sauf surprise de reconfinement, sera la meilleure vente de l’année en numérique (en même temps c’était le titre de janvier et il a beaucoup profité du premier confinement) et en troisième position Le Magicien quantique de Derek Künsken, le titre maudit par excellence puisqu’il est le dernier sorti avant le premier confinement, ce qui ne l’empêche pas de se défendre, bien au contraire (cependant, il faut être lucide, il peut encore beaucoup revenir).