


Lorsqu’une maison d’édition cite Stephen King, Lovecraft, Neil Gaiman, Dean Koontz ou autres comme grandes références pour un roman sorti, j’ai tendance à le prendre avec des pincettes. Malheureusement, on a plus souvent droit à une déception qu’à autre chose…. Mais pas avec ce roman !
// American Elsewhere chez Kloliane books : « Entre fantastique, science-fiction et policier, je vous invite à faire un tour dans la ville de Wink… A vos risques et périls. » //
La couverture russe (?) d’American Elsewhere de Robert Jackson Bennett
// Vous trouverez l’illustration seule ici, donc sans les typos et la mise en pages. //
Lire « American Elsewhere » revient à s’immerger dans l’étrange, dans l’inconnu qui se révèle pluriel et se dérobe sans cesse. Robert Jackson Bennett attrape d’emblée le lecteur pour le coller aux basques de Mona, une femme qui ne fait pas son âge et cherche à découvrir qui était sa mère et, par voie de conséquence, ce qui cloche chez elle. Sortir indemne de Wink n’est pas une option, l’emprise des lieux est totale et ce roman vire à l’obsession dans l’esprit de celui qui en ouvre les pages.
// La petite ville de Wink, Nouveau-Mexique, entre en collision avec la Yozone ou inversement… //