Vous connaissez la chanson…
Les éditions Albin Michel ont acquis pour leur département Albin Michel Imaginaire les droits du roman d’Émilie Querbalec Quitter les Monts d’Automne.
Un résumé du roman
Recueillie par sa grand-mère après la mort de ses parents, la jeune Kaori vit dans les Monts d’Automne où elle se destine à être conteuse. Sur Tasai, comme partout dans les mondes du Flux, l’écriture est interdite. Seule la tradition du « Dit » fait vivre la mémoire de l’Humanité. Mais le Dit se refuse à Kaori et la jeune fille se voit dirigée vers une carrière de danseuse.
À la mort de sa grand-mère, Kaori hérite d’un rouleau de calligraphie, objet tabou par excellence, dont la seule détention pourrait lui valoir une condamnation à mort. Pour percer les secrets de ce rouleau, mais aussi le mystère qui entoure la mort de ses parents, elle devra quitter les Monts d’Automne et rejoindre la capitale, Pavané.
Sa quête de vérité la mènera encore plus loin… très loin de chez elle.
L’autrice
Emilie Querbalec est née au Japon. Quitter les Monts d’automne est son second roman. Le précédent, Les Oubliés d’Ushtar (Nats édition) a été finaliste du prix Rosny aîné.
Le genre
Se présentant d’abord comme un roman initiatique d’inspiration japonaise, Quitter les Monts d’Automne devient vite un récit d’aventures qui frappe par sa beauté et sa poésie, puis par sa cruauté et son érotisme subtil.
Ce roman de science-fiction évoque l’œuvre d’Ursula K. Le Guin et certains classiques de Robert Silverberg – le cycle de Majipoor, en particulier.
L’illustrateur pour la couverture ?
Manchu
Quand est-ce que ça sort ?
Il va vous falloir attendre l’automne 2020.

Rough de couverture : Manchu
Je suis journaliste, je suis blogueur, je suis libraire, je veux lire Quitter les Monts d’Automne, comment je fais ?
Vous nous envoyez un petit message (via le site ou notre facebook), on vous enverra le livre quelques semaines avant sa parution.
Un résumé qui peut déboucher sur une bonne histoire, ça ne fait aucun doute.
Et le rough de Manchu ferait -déjà- une couverture dans mes goûts, tel qu’elle est .
Pour reprendre une expression toute faite ; ça vend du rêve !
C’est un roman de science-fiction a priori très classique qui navigue dans les eaux douces de Robert Silverberg et d’Il est difficile d’être un Dieu des frères Strougatski. Pour moi la vraie singularité du texte vient de la collision d’une influence miyazakienne avouée et d’un érotisme, assez cruel, justement totalement absent de l’œuvre de Miyazaki. Quitter les monts d’automne est très sensuel ; ça change beaucoup des romans que j’ai publiés jusqu’ici en Albin Michel Imaginaire. Emilie a beaucoup de mal avec la référence à Ursula K. le Guin, référence qui visiblement l’écrase un tantinet, mais je la trouve parfaitement justifiée si on regarde plus du côté de Terremer que de La Main gauche de la nuit. (GD)
Émilie Querbalec avait déjà attiré notre attention avec des nouvelles originales et plus que prometteuses. C’est pour cela – et aussi sa nomination au Prix Rosny ainé 2019 – quelle est invitée à l’edition 2020 du festival Imaginales, à Épinal. J’avoue être très impatiente de découvrir son nouveau roman chez Albin Michel !
Un service de presse devrait même être possible…
J’ai adoré son premier livre « Les Oubliés d’Ushtar » qui permet vraiment de se couper du monde réel et de se plonger dans un univers qui nous tient en haleine avec ses personnages attachants et d’autres plus détestables 🙂
J’ai hâte de livre son second roman. La couverture donne vraiment envie…
Résumé très tentant ! Je lirai à coup sûr ce deuxième roman d’Emilie Querbalec !
Je trouve la couverture très belle ainsi.