On sent aussi une description sans concessions du capitalisme qui a tiré profit des catastrophes climatiques, dans la veine de « La stratégie du choc » de Naomi Klein. // La Cité de l’orque de Sam J. Miller critiqué par Sylvain Bonnet sur Phenixweb. (On regrettera juste un petit spoil et une erreur en ce qui concerne Soq) // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « La nuit du faune c'est 250 pages d’émerveillement sans un seul bout de gras. »« Ce tome 1 [...] s’achève sur un rebondissement majeur, et évidemment je vais lire la suite pour connaître la fin de l’histoire. »"...si un ami, un parent, un jour vous demande de quoi parle la science-fiction, vous pourrez toujours lui tendre Semiosis et lui dire : ça parle nota... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ