L’effort de lecture que réclame cette immersion brutale dans un univers étranger est grandement récompensé tant le récit se révèle aussi brillant que captivant, sur la forme et le fond. Une mention spéciale au traducteur [Jacques Collin] qui a réalisé un travail extraordinaire pour restituer avec intelligence et justesse les néologismes du texte.
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Tel est l’avis de Claude Ecken sur le tome 1 d’Anatèm de Neal Stephenson dans le n°58 de la revue Galaxies « Spécial Julia Verlanger »