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Vous connaissez la musique…
Les éditions Albin Michel ont acquis les droits pour leur département éditorial Albin Michel Imaginaire du premier roman de Peng Shepherd : The book of M / Le livre de M.
De quoi ça cause ?
En Inde, un jour sur un marché à ciel ouvert, l’ombre d’un homme disparaît – un phénomène que la science échoue à expliquer. Il est le premier, mais bientôt on observe des milliers, des millions de cas similaires, et le phénomène se répand comme une pandémie. Si les victimes acquièrent un pouvoir étrange, elles ne se contentent pas de perdre leur ombre : tous leurs souvenirs disparaissent aussi.
En se cachant dans un hôtel abandonné au fond des bois, Ory et son épouse Max ont échappé à la fin du monde tel qu’ils l’ont connu. Leur nouvelle vie semble presque normale, jusqu’au jour où l’ombre de Max disparaît… Sachant que plus elle oubliera, plus elle sera dangereuse pour Ory, la jeune femme s’enfuit. Mais son mari refuse d’abandonner tout espoir. Il y a forcément quelque chose à faire, un remède. Porté par une flamme que rien ne pourra éteindre, Ory se lance à la poursuite de Max.
Situé dans un futur proche où nul n’échappe au danger, Le Livre de M raconte l’incroyable destin de gens ordinaires victimes d’une catastrophe mondiale extraordinaire. Jusqu’où iriez-vous pour sauver l’être aimé ?
Peng Qui ?
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Peng Shepherd est née et a grandi à Phoenix, en Arizona, où elle a appris l’équitation et le ballet classique. Elle a une Maîtrise en arts (Master of fine arts). Elle a vécu à Pékin, Kuala Lumpur, Londres, Los Angeles, Washington DC, Philadelphie et New York. Le Livre de M est son premier roman.
A qui s’adresse le livre ?
Ceci devrait répondre à la question :
« Puissant, sombre et captivant, Le livre de M ne décevra pas les fans du Passage de Justin Cronin et de Station Eleven de Emily St John Mandel. » Booklist
Vous en avez d’autres de citations du même genre ?
(Des tas…)
« Un thriller apocalyptique avec du cœur… Peng Shepherd y examine la valeur de la mémoire par le biais d’une odyssée haletante, inventive et pleine de rebondissements. » USA Today
« Une belle et fascinante histoire sur le pouvoir de la mémoire et la nécessité de créer des liens humains. Ce roman est un chef-d’œuvre post-apocalyptique et la seule dystopie que vous avez vraiment besoin de lire cette année. » Bustle
Ça ressemble à une histoire d’amour votre truc, c’est pas un peu gnan-gnan ?
A peu près autant que True Romance de Tony Scott…
Y aura-t-il une bande sur le livre ?
Oui, comme on a peur de rien, on est tenté de mettre :
« Le nouveau chef d’œuvre du roman post-apocalyptique. »
Qui va traduire ?
Anne-Sylvie Homassel qui a déjà traduit pour nous « Le Vêlage » et La Cité de l’orque de Sam J. Miller.
Ça sort quand ?
Ce sera le « gros titre » de 2020.
Deuxième livre programmé en 2020 (après celui de Derek Kunsken) qui fait saliver.
Le catalogue s’étoffe et semble très hétéroclite, il y en a pour tout le monde. 😀
En attendant on va déjà profiter des romans de 2019…