Je terminerai cette chronique en évoquant le style de Franck Ferric, que j’ai trouvé très travaillé, avec un vocabulaire et des tournures très soutenues (« accaparé par une paire de querelleurs forts en répartie »), marqués par leur aspect médiéval, en utilisant par exemple la métonymie qui désigne les épées par le terme « fer », ou des formes archaïques tels que « col » pour cou, ou « chef » pour tête. Même s’il mobilise parfois des images, le style de l’auteur n’adoucit jamais la brutalité de son récit, et lui donne un aspect à la fois plus violent et plus poétique.
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Le Chant mortel du soleil de Franck Ferric continue sa récolte de louanges, le voici à l’honneur des Chroniques du chroniqueur.