« Je m’avance peut-être, mais « Émissaires des morts », tout autant que les autres enquêtes du recueil homonyme, me semble être une belle illustration de ce qu’Arthur Koestler nommait la « bissociation ». Ou l’art de combiner deux domaines différents et paradoxaux (ici le whodunit et le space opera), d’où émergera un espace créatif nouveau. »