Le point fort du récit est sans conteste Qaanaaq. Le worldbuilding est époustouflant, les idées nombreuses et variées donnent du corps au récit mais la visualisation n’est pas forcément immédiate. Les éléments se dévoilent au fur et à mesure, tout le long du récit. C’est une plongée lente et immersive. Un vrai plaisir de lecture, on ressent le froid, la surpopulation, la frénésie ambiante et surtout la fragilité du lieu.

Le point fort du récit est sans conteste Qaanaaq. Le worldbuilding est époustouflant, les idées nombreuses et variées donnent du corps au récit mais la visualisation n’est pas forcément immédiate. Les éléments se dévoilent au fur et à mesure, tout le long du récit. C’est une plongée lente et immersive. Un vrai plaisir de lecture, on ressent le froid, la surpopulation, la frénésie ambiante et surtout la fragilité du lieu.

  La cité de l’orque de Sam J. Miller dans Les lectures du Maki. //
Le point fort du récit est sans conteste Qaanaaq. Le worldbuilding est époustouflant, les idées nombreuses et variées donnent du corps au récit mais la visualisation n’est pas forcément immédiate. Les éléments se dévoilent au fur et à mesure, tout le long du récit. C’est une plongée lente et immersive. Un vrai plaisir de lecture, on ressent le froid, la surpopulation, la frénésie ambiante et surtout la fragilité du lieu.

L’écriture est fine, fluide et l’auteur ancre très vite son contexte et le climat particulier de cette ville-flottante du 22ème siècle. Le Vêlage est une nouvelle maîtrisé et d’une rare beauté. J’ai désormais hâte d’en savoir plus !

// Deux avis de plus sur la nouvelle « Le vêlage » de Sam J. Miller. // L’avis de Baroona sur 233°C. // L’avis d’Uranie. // Disponible gratuitement en numérique chez tous les revendeurs, « Le Vêlage » peut aussi se lire...
Le point fort du récit est sans conteste Qaanaaq. Le worldbuilding est époustouflant, les idées nombreuses et variées donnent du corps au récit mais la visualisation n’est pas forcément immédiate. Les éléments se dévoilent au fur et à mesure, tout le long du récit. C’est une plongée lente et immersive. Un vrai plaisir de lecture, on ressent le froid, la surpopulation, la frénésie ambiante et surtout la fragilité du lieu.

Malgré quelques défauts scénaristiques, quelques facilités, que j’attribuerais bien volontiers à la jeunesse de son auteur, La cité de l’orque est un roman passionnant à lire. Il offre une plongée dans un univers sombre et complexe, qui n’est jamais caricatural ou évident. Il couvre une vaste étendue de thématiques qui jamais ne sonnent artificielles. Il donne à suivre une galerie de personnages hauts en couleur, attachants et combatifs.

Tranquillement posée sur L’épaule d’Orion, comme le corbeau sur un buste de Pallas, La cité de l’orque de Sam J. Miller nous donne à voir un futur aussi beau qu’inquiétant. Vous n’oublierez jamais Qaanaaq, vous n’oublierez jamais...
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