Le point fort du récit est sans conteste Qaanaaq. Le worldbuilding est époustouflant, les idées nombreuses et variées donnent du corps au récit mais la visualisation n’est pas forcément immédiate. Les éléments se dévoilent au fur et à mesure, tout le long du récit. C’est une plongée lente et immersive. Un vrai plaisir de lecture, on ressent le froid, la surpopulation, la frénésie ambiante et surtout la fragilité du lieu.