« C’est ainsi qu’on pourrait résumer « La nuit du faune » : tout réside dans le récit. Car le récit est essentiel. Il est au centre de ce roman. Il est savoir, il est connaissance (donc science). Il est langage, donc poésie. Et c’est toute la force de ce livre, de se situer au-delà de la SF, hard ou pas, d’un conte philosophique ou d’être tout cela à la fois. C’est un voyage fabuleux, une Odyssée. Un récit. »