« À la fin, la balance entre fascination et détestation de cette juriste à la volonté de fer, parvenue à s’affranchir d’une partie de sa misanthropie, penche clairement en faveur de la fascination. » // Émissaires des morts d’Adam-Troy Castro sur le blog Accrocstiches, une critique de Florent Toniello. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « J'ai été captivée par ce voyage dans la pluie, la boue, la brume et tout ce qui s'y cache, un très bon livre qu'on peut lire un soir de grand vent, ...On pourrait considérer considérer ce roman sans saveur, tant il se contente d'apporter au lecteur ce qu'il attend, de le placer en terrain connu (un c...« Dans ce récit rondement mené, même si une lueur d’espoir subsiste, on croit cependant déceler la fin de son incursion dans les temps ultramodernes. ... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ