Subtil mélange de fantastique contemporain, de science-fiction débridée et de fantasy, baigné de scènes gore et de merveilleux, électrisé par des éléments issus d’une moralité perverse, ce roman de près de 800 pages constitue une expérience de lecture éprouvante tant l’addiction se révèle prégnante.
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Une très bonne critique d’Eric Albert sur Encre Noire le « Seul webzine belge des littératures d’évasion. »