Robert Jackson Bennett propose ici un roman assez réjouissant et superbement maîtrisé, un bel hommage à une littérature que j’ai beaucoup lue à une époque, lorsque j’ai découvert Stephen King, Serge Brussolo (j’ai beaucoup pensé aux Geôliers pendant la lecture) Dean Koontz, ou Graham Masterton. L’aspect lovecraftien est également très présent, tentaculairement parlant.