« Rivages se prête parfaitement à la contemplation, à la rêverie, car le lecteur est porté par les joies simples de la vie, par la communion avec la nature. Il se dégage une certaine nostalgie, voire de la tristesse, à l’écoute des récits anciens, à la perte de la mer à laquelle les Ondins aspirent toujours, mais qu’ils ne savent où chercher. »