« Quitter les Monts d’Automne joue en permanence sur les frontières entre fantasy et science-fiction, et c’est à mon avis très réussi. Le worldbuilding est superbe, surtout dans sa partie planet-opera, et Kaori est un personnage plus torturé qu’on l’imagine de prime abord, ce que l’on découvre au cours des révélations, alors que s’ouvrent les sombres allées de la mémoire. »