Que la nouvelle collection Albin Michel Imaginaire se lance avec ce roman monumental augure favorablement de son ambition. // La critique d’Anatèm de Neal Stephenson par Hubert Prolongeau dans Télérama // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Voilà enfin un roman post-apocalyptique qui fait vraiment peur ! »Pour quelque chose d’inhabituel, c’est inhabituel. Je ne suis pas certaine que ce soit au goût de tous.« L’Architecte de la vengeance n’est pas un appel au calme. Au contraire, c’est un appel à la révolte. » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ