« Quant à l’idée de La Marche du Levant, je me souviens parfaitement du soir où elle a germé. Avec une amie, nous contemplions la pleine lune, discutant des raisons pour laquelle elle nous montrait toujours la même bouille… Et le tropisme de La Marche est venu : ce serait marrant de camper un roman sur une terre qui ne tourne plus, ou presque plus ! Cette nuit-là, j’ai peu dormi, les idées se bousculaient, en particulier cette notion de nomadisme forcé qui me plaisait beaucoup. »