« Pendant plus de 600 pages l’auteur suit la trame classique (vous mettez le personnage dans la merde, puis chaque fois qu’il croit s’en sortir, vous l’enfoncez un peu plus, jusqu’au final) avec un talent de conteur époustouflant, un décor génial, des personnages complexes, riches, changeants et déstabilisants. »
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Les Maîtres enlumineurs de Robert Jackson Bennett sur le blog de Jean-Marc Laherrère | Actu du noir.