« Marguerite Imbert parvient à ce point d’équilibre qu’on croyait définitivement perdu en France entre science-fiction divertissante et engagée, talent insolant et désinvolture textuelle. » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert chez Just a Word, une critique de Nicolas Winter. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet C'est aujourd'hui, mercredi 29 janvier, que sort Cosmos incarné, le volume final de la trilogie de La Fleur de Dieu de Jean-Michel Ré.« … j’espère que ce genre de romans amènera l’impulsion à protéger la Nature, à la voir comme une amie, et non une entité à dominer, contrôler. »« La perte de la mémoire n’est pas explicable ni acceptable pour ceux qui la vivent et leurs proches qui voient l’être aimé devenir progressivement un... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ