Magistral mais ardu (ou l’inverse) La critique d’Anatèm – tome 1 sur le culte d’Apophis PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Dans Le Magicien quantique, Derek Künsken décrit une époque future où on observe de nombreuses posthumanités dérivées de l’Humanité standard. »« S’il s’agit là de la conclusion du cycle, alors elle est très réussie. »La Cité des marches de Robert Jackson Bennett Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ