« Loin d’élever le débat, Tochi Onyebuchi se fait l’apôtre de la haine, ce qu’il est difficile de cautionner. » // L’Architecte de la vengeance dans la Yozone, une critique de François Schnebelen. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Avec seulement un titre, Émilie Querbalec se hisse au sommet de mes auteurices d’imaginaire francophone favoris. »« Il y a quelque chose de très réaliste dans la conception de l’univers. Les personnages, les questionnements, les péripéties… C’est fascinant et très...« Un roman qui transporte sans cesse son lecteur entre différents genres, différentes questions et qui vaut clairement le détour. » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ