« Loin d’élever le débat, Tochi Onyebuchi se fait l’apôtre de la haine, ce qu’il est difficile de cautionner. » // L’Architecte de la vengeance dans la Yozone, une critique de François Schnebelen. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « L’imaginaire est-elle une littérature de niche ? J’en doute et la niche s’agrandit. Pour preuve, une maison d’édition importante, qui a un pignon bi...Sur l'Instagram Richesse de fantasy...« Rapide, dynamique, rythmé, intrigant, "La guerre des marionnettes" est un roman captivant et parfois visuellement révoltant... » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ