« Loin d’élever le débat, Tochi Onyebuchi se fait l’apôtre de la haine, ce qu’il est difficile de cautionner. » // L’Architecte de la vengeance dans la Yozone, une critique de François Schnebelen. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Morgane Pendragon m’a beaucoup plu, tout simplement. »« On ne peut que saluer le travail éditorial fait autour de ce cycle. »Imaginales 2019 : Interview de Sam J. Miller Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ