« …les belles promesse qui se dégageaient dès l’entame ont été tenues jusqu’au bout. Une sacrée performance ! » // Les Terres closes de Robert Jackson Bennett dans la Yozone, une critique de François Schnebelen. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Introduction tout en douceur à l’univers de la détective-diplomate Andrea Cort, Démons Invisibles surmonte sa banale trame policière par des questio...« Voilà un récit qui par sa densité et son originalité nous empoigne jusqu'à sa dernière ligne. »Lorsqu’une maison d’édition cite Stephen King, Lovecraft, Neil Gaiman, Dean Koontz ou autres comme grandes références pour un roman sorti, j’ai tendan... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ