« Le ton est peut-être volontairement léger, mais la violence et la noirceur de l’âme humaine sont néanmoins toujours bel et bien présentes… et l’air de ne pas y toucher, Marguerite Imbert nous assène quelques vérités bien sentie. » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert chez Les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet Beaucoup de titres Albin Michel Imaginaire« Comme Le Dahlia noir [de James Ellroy], Demain et le jour d’après est un thriller parlant du deuil, de l’absence, de la culpabilité du survivant et ...Le tome 1 présenté ici, gros morceau de 650 pages, s’arrête sur un suspense insoutenable, et il est donc important de ne pas laisser passer trop de te... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ