« Le ton est peut-être volontairement léger, mais la violence et la noirceur de l’âme humaine sont néanmoins toujours bel et bien présentes… et l’air de ne pas y toucher, Marguerite Imbert nous assène quelques vérités bien sentie. » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert chez Les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet Je m’avance peut-être trop, d’autant que l’année n’est pas encore terminée, mais ne peut m’empêcher de vous dire que s’il y a bien un ouvrage de scien...« Avec Les Temps ultramodernes, Laurent Genefort réussit à la fois le pari d’offrir un roman très divertissant mais également très riche et avec des r...Le chef d’œuvre de la SF à capuche ? Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ