« Le ton est peut-être volontairement léger, mais la violence et la noirceur de l’âme humaine sont néanmoins toujours bel et bien présentes… et l’air de ne pas y toucher, Marguerite Imbert nous assène quelques vérités bien sentie. » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert chez Les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet La Cité des marches de Robert Jackson BennettRoyaumes humains désunis aux dirigeants pourris ou intègres, quête de soi, amis fidèles dont la force vient de leur entente – Bryna, jeune noble qui h...« Les maîtres enlumineurs est un véritable roman d’aventures, l’action et les péripéties s’enchaînent, parfois à un rythme effréné. » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ