« Le ton est peut-être volontairement léger, mais la violence et la noirceur de l’âme humaine sont néanmoins toujours bel et bien présentes… et l’air de ne pas y toucher, Marguerite Imbert nous assène quelques vérités bien sentie. » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert chez Les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Puissant et dérangeant, un roman historique et fantastique à l’atmosphère angoissante. »La « chouette chose » de Tochi Onyebuchi« Emissaire des morts combote avec bonheur polar et space opera. Du texte court au long roman, Adam-Troy Castro est parfaitement à l’aise dans tous le... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ