« J’ai dévoré avec enthousiasme les cinq cents dernières pages de cette belle variation sur le Rêve Américain, dont il se dégage par ailleurs une certaine mélancolie. « // American Elsewhere de Robert Jackson Bennett sur le blog Me, Darcy and I. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « C’est ainsi qu’on pourrait résumer « La nuit du faune » : tout réside dans le récit. Car le récit est essentiel. Il est au centre de ce roman. Il e...« Nous la sentions venir cette révolution et ce renvoi du « ta gueule, c’est magique » aux oubliettes de la littérature. Robert Jackson Bennett nous l...Entre dragons et démons, ça va chauffer ! Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ