« Il y a un certain esprit lovecraftien dans le récit de Tom Sweterlitsch, et une touchante fragilité humaine, confrontée à un univers bien indifférent. » // Terminus de Tom Sweterlitsch critiqué par Jean-Guillaume Lanuque dans Galaxies Nouvelle série – n°60. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Roman rythmé qui use abondamment des coups de théâtre et relance l’action sans temps mort, Un Océan de Rouille nous montre aussi un monde sans humai...« … une œuvre captivante... »« L'intrigue entremêle habilement les mystères entourant leur histoire et l'enquête sur le meurtre du professeur Sangyui et c'est un plaisir d'accompa... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ