


« Ben Bova avait pris Vénus comme cadre d’un roman d’action efficace et distrayant en 2000. Vingt ans plus tard, Derek Künsken lui offre un monument fait de larmes et de gouttes d’acide, de sang versé et d’électricité, d’amour et de haine entremêlés. »
// Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken chez le Nocher des livres. //
« Ce roman se déroule 250 ans avant un diptyque (Le magicien quantique et Le jardin quantique) : à la question « peut-on le lire sans connaître les autres romans ? », je vous réponds « oui ! », puisque moi non plus je n’ai pas (encore) lu les autres romans, et cela ne m’a pas empêchée de beaucoup l’apprécier. »
// Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans les Chroniques de Feygirl. //
« Première partie d’un diptyque, Les profondeurs de Vénus, au-delà du volet spatial et colonisation du système solaire, est aussi le portrait d’une famille forte, avec des individualités attachantes. »
// Les Profondeurs de Vénus de Derek Künsken dans L’Indépendant, une critique de Michel Litout. //