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Vous connaissez la chanson…
Les éditions Albin Michel ont acquis pour leur département Albin Michel Imaginaire les droits du cinquième roman d’Emilie Querbalec, Les Jardins du temps.
Le pitch :
Si le temps est brisé, qui sera en mesure de le réparer ?
Des gardiennes, une équipe de recherches scientifiques, une chamane ?
Le résumé :
Japon.
Fin du XVIe siècle.
Les troupes d’Oda Nobunaga donnent l’assaut sur le temple du Dieu-dragon, sur le mont Hiei. Pendant la bataille qui oppose les moniales aux troupes du seigneur de la guerre, une inestimable relique est brisée.
Quatre siècles plus tard, deux scientifiques spécialistes du temps sont convoqués par les autorités dans le cimetière de Mikageyama. Mariko Nakajima et Vedant Vinayakram découvrent là l’impensable : une tête tranchée a été trouvée dans une tombe, elle semble dater du Japon féodal. Et contre toute attente, elle donne toujours des signes de vie. Les relevés à proximité de la sépulture montrent que le temps s’y écoule très lentement. Cette perturbation en annonce d’autres, bien plus dangereuses.
Si le temps est brisé, qui sera en mesure de le réparer ?
L’autrice :
Née au Japon, Emilie Querbalec s’est imposée en l’espace de quatre romans, comme une des voix les plus puissantes de la science-fiction française contemporaine. Son roman Quitter les monts d’Automne a reçu le prix Rosny Aîné et le prix poche de l’Ouest Hurlant. Son troisième roman Les Chants de Nüying a été récompensé par le prix Méditerranée de l’Imaginaire 2023. Les Sentiers de Recouvrance a reçu le prix Julia Verlanger.
Ce qu’en pense l’éditeur :
C’est le quatrième roman d’Emilie Querbalec que je publie. Mon dieu que le temps passe vite 😉 Il est tout à fait dans la ligne droite des précédents, tout en étant radicalement différent. Aux intersections de la fantasy asiatique, du thriller temporel, de la science-fiction spéculative et des inquiétudes environnementales, Emilie Querbalec explore un territoire littéraire qui n’appartient qu’à elle.
On y retrouve non pas ses « inspirations habituelles », mais plutôt l’ombre bienveillante des créatrice et créateur qui appartiennent à la même communauté d’âme qu’elle : Ursula K. Le Guin et Hayao Miyazaki.
De ces quatre romans que j’ai accompagnés du mieux possible, c’est mon préféré, sans doute aussi le plus ambitieux et le plus abouti, mais ça ce sera sans doute à d’autres d’en juger.
La couverture :
A la demande de l’autrice, elle a été confiée à Anouck Faure.
Et ça sort quand ?
En avril prochain.
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