« Cela étant dit, Cargill réussit quand même le tour de force de construire un monde dénué d’êtres humains, mais pas d’humanité puisque celle-ci se retrouve tout de même dans l’essence des programmes qui ont servi à concevoir les I.A. » // Un océan de rouille de C. Robert Cargill critiqué par François Lemay dans le média québécois Le Devoir. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert« Le livre est truffé d’idées, de notions, parfois sans être vraiment utiles à l’histoire il faut le reconnaître, mais l’ensemble est splendide. Pas c...Gnomon de Nick Harkaway et La Nuit du faune de Romain Lucazeau Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ