« Cela étant dit, Cargill réussit quand même le tour de force de construire un monde dénué d’êtres humains, mais pas d’humanité puisque celle-ci se retrouve tout de même dans l’essence des programmes qui ont servi à concevoir les I.A. » // Un océan de rouille de C. Robert Cargill critiqué par François Lemay dans le média québécois Le Devoir. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Bien que rude émotionnellement, la lecture n’en est pas moins captivante, entraînant un sentiment proche de ce qu’on pouvait ressentir avec « Vigila...« Adam-Troy Castro a créé une histoire fascinante, avec un premier roman fort et mémorable, et une héroïne qui ne laisse pas indifférent. J'ai hâte de...« ...très intéressant, très dur, très douloureux... » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ