« Cela étant dit, Cargill réussit quand même le tour de force de construire un monde dénué d’êtres humains, mais pas d’humanité puisque celle-ci se retrouve tout de même dans l’essence des programmes qui ont servi à concevoir les I.A. » // Un océan de rouille de C. Robert Cargill critiqué par François Lemay dans le média québécois Le Devoir. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « ...Émilie Querbalec se démarque par son espérance en l’avenir et dans la génération future, à travers ce roman qui pourra parler à un large public. ..."On s’attache à chacun des personnages, malgré leurs défauts et leur étrangeté. J’ai adoré les différents thèmes explorés via chacun de ces membres, a...Quand la magie s'apparente au piratage informatique. Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ