« Bien mieux qu’un succédané, « Le Chant mortel du soleil » est une œuvre véritable, un roman qui tranche et qui pense, un roman où le sang gicle et où l’on réfléchit, un roman que l’on peut lire et relire, mais aussi méditer, comme l’on médite en contemplant un tableau, un paysage, une forteresse en ruines, le crâne poli d’une vanité. »