C’est quoi l’accroche ?
Ils sont affreux, sales et méchants. Ils ont décidé d’exterminer le dernier dieu sur Terre.
Über-Cool ! On peut en savoir plus ?
Il s’appelle Araatan, il est le Grand Qsar. On le surnomme la Montagne car il est haut comme deux hommes, large comme un auroch. Le destin de ce géant est de mener son peuple de cavaliers sur la route de la Toute Fin : achever l’extermination totale des dieux. Une seule divinité a survécu à leur déicide : celle de la cité d’Ishroun. Pour abattre les murailles d’Ishroun et éteindre le culte de la Première Flamme, Araatan se donne un an.
Elle s’appelle Kosum. Née esclave, elle était la meilleure dresseuse de chevaux des plaines. Pour avoir tenté de castrer le fils de son maître, elles a été enchaînée nue à une tour pleine de morts. Alors qu’elle attend résignée le baiser mortel du gel, quatre cavaliers la délivrent. Ces hommes durs retournent auprès du Grand Qsar. Kosum, qui croyait mettre un pied dans la guerre, va entamer un tout autre voyage.
Avec le chant mortel du soleil, Franck Ferric (finaliste du Grand Prix de l’Imaginaire pour Trois oboles pour Charon) signe une fantasy de sueur, de fer et de sang – une épopée barbare et magique, à l’écriture flamboyante et dont l’ironique cruauté évoque les meilleurs westerns spaghettis.
Qui a signé la couverture ?
A qui s’adresse ce roman de fantasy barbare et crasseuse ?
Aux fans de Benvenuto Gesufal. A ceux qui veulent de la fantasy écrite dans l’épaisseur de l’être humain : charnelle et cruelle. A ceux bien décidés à s’embarquer dans un voyage aux horizons fuyant, aussi épique que démesuré.
Âmes sensibles s’abstenir ?
Plutôt, oui.
Série ou stand-alone ?
Stand-alone.
Une petite idée musique ?
Basil Poledouris, la bande originale de Conan le barbare