« … ce cross over entre Terminator et Mad Max, pour reprendre l’expression de l’Epaule d’Orion, remplit son rôle. Bien fagoté, distrayant, avec un final en point d’interrogation… » // Un océan de rouille prend la sortie au fond du web, une critique de Soleil Vert. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Je suis ainsi très curieux de savoir ce que Peng Shepherd nous réserve pour la suite ! »« Ce space opera déconcerte par son worldbuilding étouffant, mais ouvre des perspectives thématiques passionnantes. »« Encore une fois la collection Albin Michel Imaginaire nous offre un grand moment de littérature SFFF avec Jour Zéro ! » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ