« Mais quel plaisir de retrouver Andrea Cort ! Et pas pour n’importe quelle aventure, mais pour l’affrontement final avec les Démons invisibles, les Némésis personnelles d’Andrea, que l’on nous promet depuis Émissaires des morts ! » // La Guerre des Marionnettes d’Adam-Troy Castro chez les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet Pour Sometimes a book, Le Livre de M de Peng Shepherd...Première critique des Chants de Nüying d’Émilie Querbalec« Roman rythmé qui use abondamment des coups de théâtre et relance l’action sans temps mort, Un Océan de Rouille nous montre aussi un monde sans humai... Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ