« La nuit dernière, j’ai rêvé que le monde mourait. » // Sur le blog de Nathalie Carnesse, Sous les pavés la page, on peut lire avec admiration une critique poétique du Livre de M de Peng Shepherd. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Ce roman déroutant repose sur quatre points de vue. Le ton introspectif donne beaucoup de force aux voix qui s’entremêlent. Les 600 pages ont défilé...« Vivement la suite. »« Un récit angoissant, plein de fureur maritime, et donnant une vision toute personnelle du fameux Widjigo… » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ