« Une entrée dans l’imaginaire remarquable ! » // Les Flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert sonnent l’abordage sur la Yozone, une critique de François Schnebelen. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « Conjuguant l’entrain juvénile de la culture pop et les vertus laudatives d’une écriture inventive, Les Flibustier de la mer chimique apparaît comme ...Pour Sometimes a book...« Vous venez pour l'après-midi ? » Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ