« Mais quel plaisir de retrouver Andrea Cort ! Et pas pour n’importe quelle aventure, mais pour l’affrontement final avec les Démons invisibles, les Némésis personnelles d’Andrea, que l’on nous promet depuis Émissaires des morts ! » // La Guerre des Marionnettes d’Adam-Troy Castro chez les Pipelettes en parlent, une critique de Zina. // PartagezTweetez0 Partages Articles sur le même sujet « En bref, L’architecte de la vengeance est un coup de cœur. Une véritable claque pour ce qui concerne l’écriture au scalpel de l’auteur et l’intensit...Ardu mais jouissifPremière critique des Temps ultramodernes de Laurent Genefort Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ